« C’est important pour moi de me sentir impliquée dans l’entreprise »

Secrétaire de direction, Cynthia Da Silva connaît la CCAP par cœur. Elle y mène sa carrière depuis 2004 déjà et a exploré tous les recoins de l’institution. Rencontre.

Cynthia Da Silva joue un rôle central à la CCAP. Secrétaire de direction depuis une dizaine d’années, elle connaît tous les rouages de l’institution. « A un tel poste, il faut vraiment avoir une vision globale de l’entreprise, être très polyvalente. D’avoir pu passer auparavant par une bonne partie des services internes a été pour moi un grand avantage ».

L’appel de la prévoyance

Car Cynthia Da Silva est « un pur produit CCAP ! » comme elle le dit en riant. Après un apprentissage d’employée de commerce à la Nationale Suisse Assurances (compagnie aujourd’hui disparue) à Neuchâtel, elle rejoint directement la CCAP à peine son diplôme obtenu. « J’aimais déjà beaucoup le monde de l’assurance, mais celui de la prévoyance m’attirait encore plus. Il est non seulement en constante évolution, mais il permet aussi d’aider les gens à préparer au mieux leur avenir en proposant des produits adaptés à chaque situation ». Cet intérêt répond-il aussi à un besoin personnel ? « Peut-être. Si je vis avant tout dans l’instant présent, car c’est le seul qui nous appartient, j’ai toujours ressenti un besoin de sécurité quant à l’avenir. J’ai en tous cas compris très tôt que c’était important de s’y intéresser ».

Besoin d’implication

A la CCAP, elle débute au service des collectives (prévoyance professionnelle), puis rejoint celui des assurances-vie avant d’en devenir la responsable. Elle accède à son poste actuel dès 2010 et obtient un brevet fédéral en assurances sociales dans la foulée. Aujourd’hui, en plus de seconder le directeur Dimitri Kroemer, elle est aussi responsable de l’encadrement des apprentis. « C’est important pour moi de me sentir impliquée dans l’entreprise, de prendre part à l’élaboration de sa stratégie. Mes tâches sont extrêmement variées. Aucun jour de travail ne ressemble au précédent. Je ne me suis jamais ennuyée, bien au contraire. J’ai la chance d’évoluer dans une entreprise qui a de belles valeurs et qui a su rester à taille humaine ».

Deux enfants et une carrière

A ce poste exposé, elle n’économise jamais ses efforts. Pourtant, elle est aussi maman de deux enfants, Aaron et Leah, âgés de neuf et six ans. Mener une carrière et une vie de famille en parallèle, comment ça se passe ? « Plutôt bien ! Il est nécessaire de trouver le subtil équilibre qui permette d’être à l’aise dans tous ces rôles. Avec mon mari, nous l’avons trouvé », explique-t-elle. Son époux est indépendant et, chez les Da Silva, le partage des tâches n’est pas que du vocabulaire, c’est une réalité au quotidien qui permet aux deux conjoints de s’épanouir dans leurs métiers respectifs.

C’est dans le petit village de Rochefort que vit la famille. « Pour moi qui était une pure citadine, ça a été un gros changement lorsqu’on s’est installés là! Mais nous avons privilégié la campagne pour y faire grandir nos enfants », souligne Cynthia. Un endroit idéal aussi pour se ressourcer quand c’est nécessaire, par de grandes balades dans les alentours. Et pour Cynthia, de rêver aussi aux voyages qu’elle aime tant, avec un coup de cœur pour l’Asie et l’Amérique centrale. Ou alors, tout simplement de s’évader un peu, notamment du côté du Valais (elle qui adore la montagne et le ski) mais aussi en direction du Portugal, dans la patrie d’origine de son époux.